UNE VALSE A MILLE TEMPS
par

Les temps sont aux ruptures. C’est dur à suivre. Et c’est pas fini.
Suivez-moi bien :
Juan Bautista quitte Ojeda et Marca pour partir avec Davila Miura et Roberto Espinosa qu’il retrouve ; Julien Miletto annonce son retour après un an de congé sabbatique ; Tomasito perd Casas et repart avec Paquito Léal ; Rafelillo abandonne Robert Pilés et se lie avec Caldas, Sanchez Mejias et Canorea (trois pour le prix d’un...) ; Serranito se sépare de Rafi de la Vina (on les croyaient inséparables !) ; Denis Loré s’occupe désormais de Mehdi Savalli (bonne pioche) ; Alejandro Morilla a fait alliance avec Juan Gómez Bejarano après avoir rompu avec Ildefonso Cabrera ; Curro Bedoya, a trouvé un accord avec José Luis Cazalla et José Ignacio Cascón, Cazalla, continuera d’accompagner Víctor Janeiro, mais Cascón a rompu avec le rejoneador Pedro Calero, au moment où Bedoya faisait de même avec Parrita... Antonio Ferrera préfère le tandem Mtnez. Uranga - Cutiño à Fernando Lozano ; Fernando Cruz choisit Taurovisión (J. Félix Glez.) et abandonne Luciano Núñez qu’il avait pourtant préféré à Olivier Mageste ; El Cordobés rejoint José Luis Segura ; Javier Castaño José Mª Cerezo ; Israel Lancho : Rafael Corbelle ; pour Ángel Teruel c’est José Antonio Campuzano (qui retrouve du boulot) ; Salvador Cortés rejoint Hipólito et laisse tomber Luis Álvarez qui garde Luis Bolivar ; Salvador Vega s’appuie sur Juan Ruiz Fernández plutôt qu’Ignacio Zorita (qui l’a pourtant porté à bout de bras) et Leandro va compter sur Alejandro Da Silva...
Vous me suivez toujours ?
Morenito de Aranda : bonjour Antonio Tejero adieux Manolo Hurtado ;
Sergio Aguilar est avec Mateo Carreño (c’est à dire Chopera), Paulita avec Rafa Camino (encore un revenant) et José Antón ; Juan Belda avec Carlos Sánchez et David Galán avec Pablo Caro.
On s’arrête là, car on a le tournis....
I