La relation "exceptionnelle et inexplicable" que le torero de Galapagar entretient avec Barcelone se traduit dans les faits.

La fondation qui porte son nom offre aujourdhui 200 000 euros à 13 associations , enfance malheureuse, défavorisés de toutes sortes..
José Tomas déclare qu’il s’agit là d’un "devoir éthique" et de "reconnaissance naturelle" à la Catalogne qui a tant fait pour lui.

On se souvient qu’il avait fait entièrement don de son cachet pour son encerrona du 5 juillet. Lorsque l’on sait que le torero pouvait obtenir à peu près ce qu’il aurait demandé (300 000 euros sans doute), une pareille générosité force l’admiration de tous.

Politiquement correct ou pas, on peut aussi espérer qu’au moment de voter pour ou contre la tauromachie en Catalogne, au delà des interêts économiques divers qu’un maintien ou une suppression entraîneraient, le don de José Tomas pèsera dans les consciences des votants.

JFN