Puerta grande pour Lopez Simon !

vendredi 8 octobre 2010
par  Christian

Saragosse, 1ière de la Feria du Pilar

Un très bon novillo de Guadalest a permis au Madrilène de sortir à hombros du premier spectacle de la Feria du Pilar

Pourtant cela avait plutôt mal débuté ! Premier novillo et premier changement ! Le novillo de Guadalest qui ouvrait la novillada n ’avait pas fait dix mètres qu’il s’affalait lamentablement. Un sobrero de Casasola lui fut substitué. Grand, long, armé, et très laid, ce toro ne voulut rien savoir et se montra parfois dangereux .Le local Miguel Cartero s’en sortit assez bien en lui administrant une feana de castigo et une épée habile pour conclure. Son second (le 4ième) du même fer était proche de l’invalidité et il réussit cependant à lui tirer quelques naturelle de valeur.

Antonio Espaliù a passé un sale après-midi, c’est le moins que l’on puisse dire ! Inexistant devant son premier opposant, il hérita d’un sobrero de Los Maños qui pouvait sortir dans beaucoup d’arènes en corrida. Très Santa Coloma, le toro/novillo avait des charges violentes que le jeune Novillero ne semble pas encore prêt à canaliser. Petite déroute à l’épée !

Lopez Simon , toucha lui le novillo de la tarde. Il sut profiter de l’embestida claire sur les deux cornes pour ciseler une faena de très bon gôut. Débuté de rodillas au centre, il enchaîna par des statuaires templées dans un registre assez vertical. Il sut varier son toreo ensuite en toréant de façon plus classique et plus engagée. Une énorme estocade lui valut les deux oreilles et le novillo fut primé d’une vuelta quelque peu généreuse !
Son second avait certes des qualités , mais héla trop faible pour pouvoir lier plus de deux passes.

Toros de Guadalest , deux de Casasola(1er bis et 4ième) et un de los Maños (le 6ième)

Miguel Cuartero : salut aux deux.

Simon Lopez : deux oreilles et salut .

Antonio Espaliú : silence et sifflets.

C.H


Brèves

Blessure de Curro Diaz

dimanche 8 mai 2011

Maestranza de Seville, 13ème de la féria

Blessure de Curro Diaz, grosse envie de Juan Mora et Fandila comme d’habitude..... Cinq Manolo Gonzalez complétés par un Salvador Domecq, ternes et décastés pour la plupart. Le sixième dans d’autres mains aurait dû repartir sans ses oreilles, mais bon ...........

La Maître a encore frappé !!!

mardi 17 août 2010

Dax 17 août, 5ième de feria

Final majeur à Dax

Que dire ? quels mots, quels adjectifs inventer ?

Quand le Juli est là, c’est tout simplement grand ! Torero du siècle c’est sûr !
Ovation majuscule ! 8000 personnes scandant Torero ! Torero !

Il y a le Juli et les autres ! Un point c’est tout ! Trois oreilles et sortie par la Puerta Grande du Parc Théodore Denis

Miguel Angel Perrera coupe une oreille à son premier dans son style si personnel , c’est à dire en toréant très vertical et très près. Ne voulant pas être en reste, il instrumenta à son second le plus noble de l’envoi, une grande faena plus profonde, plus classique. Deux pinchazos et une entière firent tomber une autre oreille. Vuelta au toro de la Quinta !

Curro Diaz , pour sa part eut quelques difficultés avec son premier qui le désarma deux fois et le poursuivit aux planches. Il réussit quand même une bonne faena et tua mal.Il ne démérita pas à son second.

Toros de la Quinta. Vuelta du 6ième et du Mayoral

Curro Diaz : Salut et ovation

El Juli : une oreille et deux oreilles

Miguel Angel Perera : une oreille une oreille

Le Cid coupe 2 oreilles !

mardi 17 août 2010

Dax le 16 août, 4ième de feria

Le Cid semble revenir à son meilleur niveau . Il a coupé les deux oreilles à son second toro du Pilar. Il cisela une faena pleine, profonde et très templée conclue d’une très bonne entière.

Sebastien Castella ne s’est pas fait que des amis cet après-midi. Il ne semble pas être dans une bonne passe.

Luis Bolivar montra quelques dispositions mais ses opposants s’éteignirent assez vite.

Toros d’el Pilar :Valse de sobreros : le cinquième remplacé par un Moise Fraile imprésentable, remplacé par un Conde de Mayalde

El Cid : Silence et deux oreilles

Sebastian Castella : Silence et silence .

Luis Bolivar : silence et silence