Reviens vite, nous enchanter !
par
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Merci à Miguel, qui en "Jefe de lidia" a su rester attentif (c’était pas toujours facile) et diriger à la faena avec brio comme d’habitude !
C.H
Ci-dessous le compte –rendu de la soirée par Jean-Mi
Le plus fameux de nos chroniqueurs taurins était hier l’ invité du Club Taurin Joseph Peyré de Pau. Intarissable conteur de ses souvenirs, ses anecdotes, son quotidien de journaliste, le temps a paru bien court, et il aurait pu continuer toute la nuit.
De la naissance d’ une vocation de torero, enfant, en voyant s’entrainer Miguel Marques sur la plage de Fuengirola à ses "exploits" de torero débutant sous l’ apodo "El Girondin", puis dans un pueblo du pays valencien au cours d’ une nocturne éclairée par une ampoule de 30 watts (sic), en passant par sa "carrière" de banderillero, attachant les 2 harpons par un fil de pêche, il a beaucoup amusé.
Mais il a aussi évoqué, entre autres anecdotes, ses exploits de talonneur au rugby, déstabilisant son vis a vis en lui demandant quelle était la marque de sa machine à laver...ou comment il a du téléphoner une reseña à St Perdon au fond d’ une cave de bistrot pour éviter le vacarme d’ une banda de 84 musiciens, et y être oublié au milieu de caisses de bières qu’ il a du entamer pour tuer le temps !
Plus sérieusement, il a évoqué ses débuts de journaliste taurin, où ses 3 mentors ont été Claude Pelletier, Georges Dubos et Pierre Albaladejo. Et livré quelques indiscrétions sur l’argent touché par les toreros selon leur rang ou leurs exigences, ou sur José Tomas.
Et pour conclure, il fallait bien arrêter, un magnum de Jurançon avec une étiquette souvenir d’ une tarde navarraise..