Orthez dimanche matin : déception

dimanche 26 juillet 2009
par  Pierre

Orthez, dimanche matin
5 novillos d’Angel Nieves
Juan Carlos Rey : silence, tour de piste et silence.
José Maria Arenas : un avis et silence et silence.
2/ 3 d’arène. On suffoque !

On attendait des lions et on eut des moutons. Ce fut donc une grosse déception. On ne saurait critiquer la présentation ; les novillos étaient bien dans le type Santa Coloma, armés court mais fin. Ils avaient du laisser leur moral dans les corrals de Saint-Sever où leur débarquement fut homérique. Sur la piste du Pesqué, ils passèrent inaperçus du premier au dernier, discrets sous la pique, fades par la suite. Une noblesse fin de race, sans que jamais aucun ne s’emploie dans la passe, loin du caractère violent, sournois ou volontaire attendu. Ce fut une matinée suffocante où l’on s’est ennuyé ferme sous un soleil de plomb.

Devant un tel matériau, difficile aux novilleros de s’exprimer et on ne saurait les blâmer. Les deux premières épées furent bien portées, même si Arenas connut des difficultés au descabello. Blessé au pied avant d’arriver, il bandérilla ses deux animaux, mais c’est Juan Carlos Rey qui fut appelé à combattre le cinquième qui, comme le précédent, montra des signes de faiblesse prématurés.

La matinée avait été marquée par un incident sérieux : la blessure sérieuse de Jean Marc Julien qui ouvrait la porte du camion libérant le toro. Touché par l’animal à la fesse, il devait être envoyé à l’hôpital de Pau. Le prix de la pena Sol lui a été attribué et c’était la meilleure idée de la matinée. Le prix de la meilleure pique fut donné à Romualdo Almodovar de la cuadrilla de J.M. Arenas.
PV


Brèves

Blessure de Curro Diaz

dimanche 8 mai 2011

Maestranza de Seville, 13ème de la féria

Blessure de Curro Diaz, grosse envie de Juan Mora et Fandila comme d’habitude..... Cinq Manolo Gonzalez complétés par un Salvador Domecq, ternes et décastés pour la plupart. Le sixième dans d’autres mains aurait dû repartir sans ses oreilles, mais bon ...........

La Maître a encore frappé !!!

mardi 17 août 2010

Dax 17 août, 5ième de feria

Final majeur à Dax

Que dire ? quels mots, quels adjectifs inventer ?

Quand le Juli est là, c’est tout simplement grand ! Torero du siècle c’est sûr !
Ovation majuscule ! 8000 personnes scandant Torero ! Torero !

Il y a le Juli et les autres ! Un point c’est tout ! Trois oreilles et sortie par la Puerta Grande du Parc Théodore Denis

Miguel Angel Perrera coupe une oreille à son premier dans son style si personnel , c’est à dire en toréant très vertical et très près. Ne voulant pas être en reste, il instrumenta à son second le plus noble de l’envoi, une grande faena plus profonde, plus classique. Deux pinchazos et une entière firent tomber une autre oreille. Vuelta au toro de la Quinta !

Curro Diaz , pour sa part eut quelques difficultés avec son premier qui le désarma deux fois et le poursuivit aux planches. Il réussit quand même une bonne faena et tua mal.Il ne démérita pas à son second.

Toros de la Quinta. Vuelta du 6ième et du Mayoral

Curro Diaz : Salut et ovation

El Juli : une oreille et deux oreilles

Miguel Angel Perera : une oreille une oreille

Le Cid coupe 2 oreilles !

mardi 17 août 2010

Dax le 16 août, 4ième de feria

Le Cid semble revenir à son meilleur niveau . Il a coupé les deux oreilles à son second toro du Pilar. Il cisela une faena pleine, profonde et très templée conclue d’une très bonne entière.

Sebastien Castella ne s’est pas fait que des amis cet après-midi. Il ne semble pas être dans une bonne passe.

Luis Bolivar montra quelques dispositions mais ses opposants s’éteignirent assez vite.

Toros d’el Pilar :Valse de sobreros : le cinquième remplacé par un Moise Fraile imprésentable, remplacé par un Conde de Mayalde

El Cid : Silence et deux oreilles

Sebastian Castella : Silence et silence .

Luis Bolivar : silence et silence