Arles : la boutique des passionnés communique

mardi 2 septembre 2008

Chers amis aficionados,

Il pourrait s’agir d’une invitation à prendre le temps, celui d’écouter, de regarder, de respirer, celui qui ose la découverte, redonne du sens aux sens, à l’humain de la hauteur, de la grandeur, une folle sagesse, une sage folie.
Il pourrait s’agir d’une invitation toute simple à partager quelques moments rares autour des toros.
Catherine et Jean

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JEUDI 11 SEPTEMBRE

18h00 : Ouverture aux arlésiens de l’Exposition "Hommage à Pierre Schull
21h00 : Spectacle "Les Noirs" à 21h00, au théâtre municipal

VENDREDI 12 SEPTEMBRE

15h00 : à bâton rompu, rencontre avec MARINE DE TILLY suivi d’un dédicace
17h30 : CORRIDA DE TOROS, 6 La Palmosilla 6 pour CESAR JIMENEZ, DANIEL LUQUE, JOSELITO ADAME
20h00 : Ouverture exposition L’AUBERGE ESPAGNOLE

SAMEDI 13 SEPTEMBRE

11h00 : vernissage exposition Pierre Schull
14h30 : GRANDE DEDICACE DES AUTEURS

Robert BERARD, Marc DELON, Jacques DURAND, Antoine MARTIN, Michéa JACOBI, Annie MAILLIS...

17h00 : CORRIDA GOYESQUE ,2 Guttierez Lorenzo 2 et 4 Zalduendo 4 pour P.H. DE MENDOZA, EL JULI, JUAN BAUTISTA
20h00 : LECTURES et RENCONTRES "Tauromachies, cultures du Sud" avec Catherine BERNIE-BOISSARD, et Marc DELON

DIMANCHE 14 SEPTEMBRE

11h00 : NOVILLADA : 6 Martelilla 6 pour Marco LEAL - Miguel TENDERO - TOMASITO
17h00 : CORRIDA CONCOURS,

Murube, Miura, La Quinta, Victorino Martin, Guardiola Fantoni, Escolar Gil
pour les matadors LUIS FRANCISCO ESPLA, JAVIER VALVERDE, SERGIO AGUILAR

La Boutique des Passionnés
14 rue reattu - 13200 Arles - France
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ET LES DERNIERES PARUTIONS

 Librairie Taurine 

LA BELLE EPOQUE de la CORRIDA

de Jean-Louis Lopez, 142 pages, format 26 x 29 cm, illustrations couleur, 2008.
BEAU LIVRE : "Le Petit Journal", qui parut entre le Second Empire et la Deuxième Guerre mondiale, publia chaque semaine, de 1880 à 1937, un supplément illustré - l’ancêtre des magazines d’aujourd’hui dits à sensation. Parmi les 2400 numéros qui virent le jour et qui traitent de thèmes très variés illustrant l’actualité et la vie de l’époque, la tauromachie occupe une place importante.
A travers de nombreuses couvertures du "Petit Journal" mais aussi d’autres journaux de l’époque (le Petit Parisien, Le Petit Méridional, La Croix Illustrée, le Rire, L’Assiette au beurre, Le Grelot, L’Eclipse, La Caricature, Le Pilori, le Don Quichotte...), on découvre l’importance du taureau dans la presse populaire. Un taureau fêté en même temps qu’il inquiète. Entre spectacles et personnalités, accidents et dramatisation, humour et folklore, arène politique et détournement patriotique, il est omniprésent.
Avec plus de 100 illustrations en couleur, commentées par Jean-Louis Lopez, cet ouvrage ravira les collectionneurs comme les aficionados et révèlera au lecteur un aspect méconnu de la tauromachie. - Livre : 32.00 euros (*)

LA CAPITALE DU MONDE

de Ernest Hemingway, format poche, 108 pages, 2008.
"LA CAPITALE DU MONDE" : Le jeune Paco arrive à Madrid avec un rêve : devenir torero. Serveur dans une petite pension de famille, il fait la connaissance d’Enrique qui décide de lui enseigner les rudiments du métier... suivi de "L’HEURE TRIOMPHALE DE FRANCIS MACOMBER".
Extraites du recueil "Les Neiges du Kilimandjaro", deux histoires de rêves brisés, poignantes et passionnées pour découvrir l’univers de l’un des plus grands écrivains américains. - Livre : 2.00 euros (*)

CORRIDA

d’Anya Bartels-Suermondt, format 26 x 30 cm, 352 pages, 2008.
BEAU LIVRE : "Corrida" est un hommage photographique à l’univers de la tauromachie. Un des rares signé par une femme : la photographe Anya Bartels Suermondt. 380 de ses photos, prises au cours de 5 dernières années en Espagne, en France, mais aussi en Amérique du Sud, pour (re)découvrir l’univers de la corrida dans les plus grands élevages et aux côtés des plus grands matadors.
Proximité et intimité sont les mots clés des photos d’Anya Bartels-Suermondt. Elle réalise des images rares, saisies aux premières loges dans les arènes. Elle offre un regard neuf en posant son oeil de femme et sa sensibilité sur un monde d’hommes.
Les textes qui accompagnent les photos de "Corrida" sont variés. Ils sont signés d’amoureux des photos d’Anya, tels que le danseur de flamenco Diego El Cigala, le prix Nobel Peter Englund, le réalisateur primé à Cannes Kristian Petri, le peintre Paul Simonon, le scénariste hollywoodien Peter Viertel...
Anya Bartels-Suermondt, née à Dusseldorf, a travaillé en tant que journaliste pour plusieurs magazines et télévisions européennes. Ses reportages sur les cultures étrangères et les pays lointains l’ont menées au Mexique, en Argentine, au Marc... Depuis 1995, elle vit en Espagne où elle travaille comme journaliste indépendante. - Livre : 45.00 euros (*)

D’UN TAUREAU L’AUTRE : La tauromachie dans tous ses états

Actes de colloque Nîmes 2007, préfaces de Annie Maillis et Francis Wolff, 252 pages, 2008.
En septembre 2007 se tenait à Nîmes, un colloque pour tenter de définir les enjeux actuels de la tauromachie, empruntant la double direction de la disparité (tant géographique qu’historique ou technique) et des constantes (esthétiques ou éthiques). Par leur diversité, les pratiques taurines et les approches culturelles qui y sont liées ouvrent un large champ de réflexion. Des personnalités de toutes les disciplines (de la géographie à la philosophie, la sociologie ou les arts), universitaires, praticiens ou artistes ont contribué à enrichir ces perspectives :
José Carlos Arévalo, chroniqueur, critique, écrivain : "Toro et torero dans la dialectique esthétique de la tauromachie" - Jacques Durand, journaliste, écrivain, critique : "Le torero est un paratonnerre" - Victor Gomez-Pin, professeur de philosophie à l’Université autonome de Barcelone : "Hombria et tauromachie, le toreo, essence de la vaillance" - Araceli Guillaume-Alonso, maître de conférences à l’Université Paris IV-Sorbonne : "Corrida et histoire : la part du cheval" - Jean-Pierre Hédoin, Inspecteur général de l’Administration de l’Education nationale. : "Aficion et mémoire" - Annie Maïllis, professeur agrégée en Classes Préparatoires au lycée Daudet à Nîmes : "Picasso, le toro et le banderillero" - Jean-Baptiste Maudet, maître de conférences à l’Université de Pau, doctorant : "Les différents espaces de la tauromachie" - Alain Rodier, professeur d’espagnol au lycée de Milhau : "Le combat du cocardier dans la course camarguaise" - Jacky Siméon, écrivain, ancien raseteur : "Toreros et raseteurs. Paroles de raseteur" - Francis Wolff, professeur à l’Ecole Normale Supérieure, directeur du département de Philosophie : "L’histoire du toreo a-t-elle un sens ?" - François Zumbiehl, directeur de la Culture et de la Communication à l’Union latine : "Le discours taurin : du présent au passé". - Livre : 17.00 euros (*)

VINGT ANS VÊTU D’OR : ENRIQUE PONCE

de Jacques Lavignasse, format 16 x 24 cm, 2008.
"Fils d’or, fils de soie,fils de la bave du toro, fil de l’épée, fil de la conversation et ici, de la plume. Le torero marche sur un fil. Il peut en dégringoler à tout instant. Ce fil est paradoxal. Il est fragile et solide à la fois. La finesse du toreo d’Enrique Ponce donne cette impression de tirer l’éléphant par un cheveu. En même temps quand, dans l’ouvrage de Jacques Lavignasse, on prend conscience de l’étendue de sa carrière, de l’ampleur de son parcours et la robustesse de son professionnalisme, on se dit que ce cheveu, ce fil est plus résistant, plus endurci que les filins tressés des premiers rangs des barreras. Ce livre explique ce qu’on ne voit pas quand on voit toréer Ponce..." - Extrait de la préface de Jacques Durand.
Illustré par les ?uvres originales du peintre madrilène José Lopez Canito, cet ouvrage fait suite à celui du même auteur consacré au torero (paru en 2002).
Né le 28 janvier 1930 à Bidache, Jacques Lavignasse fut professeur d’histoire et géographie, chroniqueur sportif et taurin de 1950 à 1980. Reporter pour l’annuaire international de Madrid, El Taurino Grafico dans les années quatre-vingt-dix, il est coauteur de Cartel, d’Ordoñez Inolvidable. - Livre : 23.00 euros (*)

ROUGE DE MULETA

de François Baju, format 11x 22 cm, 292 pages, 2008,
ROMAN : Les villages blancs d’Andalousie renvoient des ombres fulgurantes d’un mur à l’autre. Chaque passant se laisse perforer de ces traits impalpables, perçants comme des flèches empoisonnées mais jamais mortelles à la première piqûre. Et dans ce paysage étrangement venimeux, comment devenir torero. Français ou espagnol, le jeune apprenti se cogne à des bêtes montrant la longueur du chemin des sueurs froides du bout de leurs cornes-poignards. Ils ne se méfient pas assez. Les vacheries viendront plus des humains, de leurs entourages intrigants. Toutes les bonnes volontés, les vertus altruistes et les exemplarités tomberont dans la fosse. Quoiqu’il advienne !
A Medina Sidonia, les toros du Corbacho Grande paissent comme des témoins muets. Dans les arènes françaises ou ibériques, d’autres mâchoires ruminantes sur des chewing-gums rengorgent les mots à ne pas dire. Il reste toujours quelque chose de pourri dans les bois des talenquères. Surtout quand deux novilleros concurrents ne voient pas plus loin que leurs pieds qu’ils s’évertuent à ne pas bouger. Si les toros élevés par Juanito pouvaient parler...
La sueur née des pires intentions sent l’aigre. Les gouttes perlant aux fronts vertueux gardent le goût du mauvais sel. Le "mundillo" ne se tient pas en pitié. Et si en plus les femmes et la police s’en mêlent ! L’âme de Don Celestino ne reposera donc jamais en paix ?
François Baju reprend le chemin de l’Andalousie pour persécuter ses personnages. Il ne peut s’empêcher de tordre le cou aux ambitions toreristes dans une succession d’avatars. Le dernier mot restera aux toros. Même les femmes finiront par se taire. Définitivement ! Ceux qui avaient adoré "Noir de toro" retrouveront dans ce roman l’univers rustique de Baju qui sent la terre mouillée et les relents de fonds de bars, truffé de mille détails, de personnages plus vrais que nature et cet oeil espiègle à qui rien des compromissions humaines n’échappe... - Livre : 15.00 euros (*)

PETITS DESORDRES autour des TAUREAUX

de Nadège Vidal, 96 pages, 2008.
NOUVELLES : Ce qui fait le prix des nouvelles de Nadège Vidal, c’est que pour la première fois, dans une fiction, un oeil féminin, riche et complexe, éclaire la tauromachie d’une autre lumière. Pas en y projetant le point de vue politique classique (le monde de la tauromachie est un monde d’hommes qui rejette les femmes ou les enferme dans les stéréotypes masculins ce qui est malheureusement le plus souvent la vérité), mais par le recours de la langue elle-même. Ce léger décalage, le tremblement des mots et des sentiments, représente un apport très original dans la prose taurine contemporaine. - Livre : 13.80 euros (*)

TOROMANIA

textes Claude Delmas, collages Claude Massié, 16 x 24 cm, 64 pages, 2008.
Cet ouvrage n’a d’autres vues que transmettre ce qui est entièrement contenu dans le sous-titre des auteurs : "réflexions, impressions et souvenirs, anecdotes et commentaires d’un aficionado très amateur".
Réflexions personnelles donc en vis à vis des collages de Claude Massié dont les personnages, toreros ou toros nous regardent les yeux ronds, étonnés ou incrédules... - Livre : 20.00 euros (*)

LE SENS DE LA MARCHE

d’Alain Montcouquiol, 96 pages, 2008.
En 1997 paraissait Recouvre-le de lumière, livre dans lequel Alain Montcouquiol racontait la vie et la mort de son jeune frère, le torero français Nimeño II, ce chant au frère et à l’absence bouleversant.
L’auteur revient sur l’aventure de sa vie, et sur ce monde si étrange de la tauromachie, cruel et magnifique, un des rares qui permette à un gosse des faubourgs de s’inventer une vie aux dimensions de la liberté rêvée.
Les pensées s’enchaînent comme les paysages défilent à la vitre d’un train, le voyage est intérieur, intime, personnel. Et suivant qu’on est assis dans le sens de la marche ou pas, le regard s’accroche aux vestiges du passé, l’esprit musarde en quête de réponses, de certitudes, de raisons d’y croire encore... un peu. Avec et sans nostalgie.- Livre : 9.80 euros (*)

La SOLITUDE SONORE du TOREO

de Jose Bergamin, 96 pages, traduction de l ?espagnol par Florence Delay, 2008.
EDITION POCHE : Né andalou, à Madrid (1895), enterré sous un drapeau basque à Fontarabie (1983) "pour ne pas donner mes os à la terre espagnole", José Bergamín est l ?une des grandes figures intellectuelles de l’Espagne. Maître en aphorismes et en paradoxes (La Décadence de l’analphabétisme, 1933), il poussera très loin l’art du disparate. Essayiste, poète, homme de théâtre, il crée en 1933 la fameuse revue Cruz y raya, "revue d’affirmation et de négation", qui aura une diffusion européenne.
Catholique et républicain passionné, il sera pendant la guerre d’Espagne l’un des membres les plus actifs de l ?Alliance des intellectuels pour la défense de la culture. Il dirige la Défense du Trésor, organise le transfert des chefs-d’oeuvre du Prado à Valence et préside le Congrès international des écrivains antifascistes en 1937. Malraux le prendra comme modèle d ?un des personnages de L’Espoir.
En 1939, c ?est l’exil. Pendant vingt ans, Bergamín vivra en Amérique latine et à Paris. En 1959 paraît l ?admirable recueil Frontières infernales de la poésie. Dans ses essais critiques où il utilise la citation littéraire comme d ?autres les Saintes Écritures, il rassemble un trésor qui est le matériau sur lequel s’édifie l’Espagne qu’il aime. Celle où la déraison et le coup de force spirituel l’emportent. Celle qui s’envole vers Dieu pour ne pas avoir à éviter d ?un millimètre la corne du diable, tel le torero.
Deux de ses essais les plus connus (le premier et le dernier qu’il a publiés) sont consacrés à la tauromachie : L’Art de birlibirloque et précisément La Solitude sonore du toreo. - Livre : 9.80 euros (*)

TERRES TAURINES 18, Le miroir des mythes

nouveau numéro de la revue, André Viard, 2008,
En s’installant au-delà de la ligne de partage des risques, José Tomás offre une dimension épique à l’art taurin. Dans la sagesse de l’incertain il trouve son équilibre, mais où puise-t-il son courage homérien ?
Au sommaire : José Tomás à Madrid, Sergio Aguilar, les ganaderias de Hernández Pla et Sayalero ainsi que les carnets de créations de Frédéric Pascal, Patrick Louis et Jean-Michel Mariou. - Revue : 13.00 euros (*)

 Librairie Camargue 

AVISE, LE BIOU : PETIT VOCABULAIRE ILLUSTRE DE LA COURSE CAMARGUAISE

texte de René Domergue et dessins de "Peo" Patrick Ouradou, format à l’italienne, 14 x 21 cm, en noir & blanc, 2008.
"Ce taureau, il a de belles banes, mais c’est un abesti. Il est tout fla. Celui-là, mèfi ! Il daille, Il bacèle. Il se tanque, c’est un calos. L’autre s’escampe, c’est pas un rousigon. Il pessugue. Un raseteur rastèle. Il fait des rasets quichés. Le public lui est esquiché sur les gradins. Aujourd’hui, la course a été bonne, les raseteurs se sont boulégués. C’est pas comme la dernière fois où on s’est fait mascarer."
Tous ces termes expriment la culture méridionale. Ils sont très vivants dans le parler des gens de bouvine ; il suffit de prêter l’oreille pour les entendre encore dans les arènes lors des courses camarguaises.
Ces mots sont issus de la langue occitane ou langue d’Oc, dans ses variantes provençales ou languedociennes. Le livre en contient presque deux cents, mis en situation dans de petits textes faciles à lire, avec à chaque fois la clé pour les comprendre.
Textes sont accompagnés de trente dessins drôles et souvent décalés signés de Patrick Ouradou (Péo).
René DOMERGUE s’intéresse depuis longtemps à la vie des villages, aux traditions et au langage méridional. Il est l’auteur de différents ouvrages dont "Des platanes, on les entendait cascailler". - Livre : 15.00 euros (*)

LA BOUVINE, première époque : 1895 - 1914

de Jean François, 128 pages, 2008.
"La Bouvine, c’est ma grande passion. Et pourtant, je n’ai jamais été ni manadier, ni gardian, ni raseteur. Ce livre est le premier d’une série qui en comptera trois et dans lesquels je m’efforcerai de mettre à la disposition des lecteurs les meilleurs clichés de la collection que j’ai constituée en plus d’un demi siècle de recherches quasi ininterrompues.
Je n’ai pas la prétention de raconter ici l’histoire de la bouvine, d’autres s’y sont attelés bien avant moi et avec beaucoup de talent.
Alors, vous trouverez peut-être dans cet ouvrage des informations différentes de celles que vous aurez pu lire ailleurs et notamment sur les taureaux. Par exemple, je me suis efforcé de donner des lieux et des dates concernnat certains cocardiers comme Lou Paré, mais pour lequel cinq spécialistes de bouvine ont des avis différents. Ami lecteur, n’oubliez jamais que dans ce fabuleux Pays Camarguais chargé d’histoire, la légende et la réalité bien souvent se confondent." - Livre : 20.00 euros (*)

LE REPERTOIRE DES MANADES DE CAMARGUE

Etude d’André Chamand, Ed. Gilles Arnaud, 2003-2008, 216 pages, 420 photos.
135 Manades de taureaux Camargue sont répertoriées dans ce répertoire très illustré : les adresses, les origines, l’ancienneté, les devises, les escoussures, les pâturages, le Bayle Gardian ainsi que des textes relatant les faits marquants et le taureaux mythiques issus de l’élevage. Sans oublier les installations pour les réceptions et les visites. - Livre : 25.00 euros (*)

 Librairie Flamenca 

HISTOIRE DU FLAMENCO, Éloge de l’éclair

de Guy Bretéché, Format : 15 x 21 cm - 260 pages, 2008
Art fulgurant et inquiet, le flamenco se déploie comme un éclair au coeur de l’Andalousie. Il brille à deux pas de chez nous et pourtant nous en ignorons souvent les secrets, prisonniers que nous sommes de clichés exotiques tenaces. Guy Bretéché, qui cherche avant tout à transmettre une passion, se propose de remonter le temps pour expliquer la genèse de cette admirable expression populaire, avant d’en narrer les richesses, les évolutions, mais aussi les dérives.
Art de la marge, art de la confidence, le flamenco authentique ne se laisse pas facilement dompter malgré les agressions sournoises de la corruption mercantile. Enraciné dans une terre qui a su capter les richesses de son histoire, il a toujours résisté aux assauts de l’insignifiance. Il est et restera, selon le mot du poète, « une façon de se plaindre sans s’humilier ».
Guy Bretéché est né et vit à Notre-Dame-des-Landes en Loire-Atlantique. Professeur de lettres, il partage son temps entre la France et l’Espagne. Sillonnant l’Andalousie depuis plusieurs décennies pour y nourrir sa passion, il s’est forgé de solides amitiés dans le monde du flamenco. Il a reçu la guitare d’or de la Peña flamenca Pepe de la Isla de Coín près de Málaga dont il est membre et qui récompense ses personnalités les plus marquantes. - Livre : 22.00 euros (*)

 DVD Tauromachie 

LE SOLEIL SE LEVE AUSSI

film de Henry King, français / anglais, Pal, durée : 125 mn, 1947-2008.
Paris, 1922. Jouraliste américain que la Grande Guerre laisse invalide, Jakes Barnes renoue avec Lady Brett Ashley, l’infirmière qui l’a soigné et aimé. Si, entre eux, la passion renait, intacte, l’amour semble impossible...
Ava Gardner, Tyrone Power, Errol Flynn, Mel Ferrer et Juliette Greco, la distribution compte parmi les plus brillantes du cinéma hollywoodien. Adapté du roman d’Hemingway que Henry King met élégamment en images, le film donne libre cours à un glamour aussi sensible dans l’expression des sentiments que flamboyant dans le style. - DVD : 26.00 euors (*)

 DVD Encierros Camarguais 

ATTENTION TAUREAUX 4

film de Florent Berthommier, 90 minutes, en français, Pal 2008.
Les encierros et abrivados de l’hiver 2007/2008 de septembre à avril. - DVD : 20.00 euros (*)

 DVD Course Camarguaise 

77ème COCARDE D’OR

film de Jean Roumajon, durée : 1h15, 2008, Pal.
La star du jour dans les arènes d’Arles a été Mickael Matray devant Moutet et Martin-Cocher.
Côté taureaux, il y avait Candello (Guillierme), Figaret (Le Ternen), Gaucelm (Nicollin), Nemo (Fabre-Maihlan), Michou (Les Baumelles) et Tabarly (Bon). - DVD : 30.00 euros (*)

 DVD Course Landaise 

COMME UN ENVOL
UNE HISTOIRE CONTEMPORAINE DE LA TRADITIONNELLE COURSE LANDAISE

film de Gregori Martin, 65 minutes, Pal, 2008.
La tradition de la Course Landaise se raconte autant qu’elle se vit. Les coursayres le savent bien. Ils pourraient passer des heures à se raconter des histoires d’hier et d’aujourd’hui.
Alors, en compagnie de Michel Agruna, un soir au clair de lune, dans sa maison de campagne, vous allez repartir aux origines de la Course Landaise, tout enpartageant quelques grands moments de la carrière de Nicolas Vergonzeanne (entre 2003 et 2007).
Une seule ambition : rapprocher les générations dans le savoir et la parole pour que perdure et évolue la tradition.
En bonus, un entretien croisé entre l’éleveur landais Michel Agruna et le matador français Stéphane Fernandez Meca sur la Course Landaise. - DVD : 15.00 euros (*)

D’EST EN OUEST :Voyage en pays coursayre

film de Jérôme Contestin, durée : 1h, 2008, Pal.
La course landaise est l’une des plus vivantes traditions du sud-ouest de la France. Jeux ancestraux où les hommes défient d’imposantes vaches avec leurs écarts et leurs sauts d’une grande élégance.
L’habitué des courses camarguaises vient en connaisseur visiter les cousins du sud-ouest et nous invite à découvrir la "landaise" sous toutes les coutures : les ganaderias, les coulisses... et le spectacle ! Avec la participation de Nicolas Vergonzane et Loïc Lapoude. - DVD : 20.00 euros (*)


Brèves

Joseph Peyré (1898-1968), l’appel de l’ailleurs

lundi 11 avril 2016

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Joseph Peyré (1898-1968), l’appel de l’ailleurs.

Une conférence de Christian Manso, Professeur émérite à l’UPPA et Dolores Thion, Professeur à l’UPPA,

Jeudi 21 avril 2016 à 18h, Médiathèque André Labarrère, auditorium.
Conférence proposée par la Bibliothèque Patrimoniale, Pau.

JEAN BAPTISTE : PUERTA GRANDE A MADRID

dimanche 6 juin 2010

Las Ventas, samedi. 6 ème de la Feria del Aniversario. Plus de 3/4.

Toros de El Cortijillo, 2º, de la classe 3º, décasté. 4º, classe et temple. 5º, noble. Uno (1º) de Lozano Hermanos (1º), manso.

Miguel Abellán, silence et vuelta al ruedo.
Juan Bautista, oreille et oreille.
Arturo Macías, silence et silence.

Salut du banderillero Curro Robles au 5ème.

Enorabuena maestro nous n’avons jamais douté de ton talent et le public madrilène une fois encore l’a salué ! L’arlésien ouvre la seule Grande Porte du cycle Madrilène c’est un exploit sensationnel qui le relance fortement.

A.G. DU CLUB JOSEPH PEYRE HIER

samedi 29 mai 2010

Une quarantaine de membres de notre club ont participé à l’assemblée générale du club hier. Quitus a été donné à l’unanimité pour les bilans moraux, financiers et pour le compte rendu d’activité. Le bureau a été élu à l’unanimité : président Gérard ; vice-présidents Karine et Pierre ; trésorier Roger, adjoint Thierry ; secrétaire Christian, adjointe Florence ; chargé du partenariat Jean Henri. Le club est en nette progression, il compte désormais 73 membres. Le compte financier est en équilibre. De nombreux projets sont en route avec notamment une visite chez le Comte de Mayalde en septembre.