PAMPLONA (Mercredi 9)

mercredi 9 juillet 2008
par  Antoine

Corrida de Fuente Ymbro bien présentée, lourde mais mobile, avec un manque de force évident à la pique qui se fera ressentir en fin de chaque faena.

Le Cid réalise une faena liée, sans peser, à un toro noble mais sans trop de force. Faena surtout droitière et coup d’épée habile font tomber la première oreille. A son second, le Cid se montre plus décidé et réalisera un très bon travail sur le piton droit (le gauche se montrant impossible avec une petite déroute aux banderilles).Malheureusement son peu d’engagement à l’estocade (5 tentatives),le privera d’un second trophée.

Sébastien ne semble pas entièrement remis physiquement de sa blessure et cela s’est ressenti au moment de tuer, lorsque la jambe d’appui lui fit défaut. Pourtant tout avait bien commencé avec une bonne faena centrée terminée entre les cornes face à un toro encasté .Hélas, déroute avec les aciers (épée et verdugo). Son second se casse la corne sur l’étrier du piquero et sera remplacé par un sobrero du même élevage. Armé très large, celui-ci infligera à Sébastien une voltereta sévère suivi d’un coup de corne semble-t-il au niveau du scrotum. Sébastien terminera son travail avec énormément de courage et écoutera les applaudissement du public en gagnant l’infirmerie.

Après n’avoir écouté que quelques applaudissements à son premier alors qu’il venait de réaliser une très bonne faena, Miguel Angel Perera réalisera un faenon au sixième de l’après-midi. D’abord le sitio et puis le reste arrive : passes pures et profondes, templées à souhait avec lesquelles il améliora encore ce très bon toro. Pour terminer une estocade d’école, (même si elle résulte légèrement tombée) qui à elle seule valait une oreille. La Présidence regrettera longtemps de ne pas avoir sorti les deux mouchoirs blancs, car cela sera vraisemblablement LA FAENA du cycle Pamplonico 2008.

Christian HAYET


Brèves

Blessure de Curro Diaz

dimanche 8 mai 2011

Maestranza de Seville, 13ème de la féria

Blessure de Curro Diaz, grosse envie de Juan Mora et Fandila comme d’habitude..... Cinq Manolo Gonzalez complétés par un Salvador Domecq, ternes et décastés pour la plupart. Le sixième dans d’autres mains aurait dû repartir sans ses oreilles, mais bon ...........

La Maître a encore frappé !!!

mardi 17 août 2010

Dax 17 août, 5ième de feria

Final majeur à Dax

Que dire ? quels mots, quels adjectifs inventer ?

Quand le Juli est là, c’est tout simplement grand ! Torero du siècle c’est sûr !
Ovation majuscule ! 8000 personnes scandant Torero ! Torero !

Il y a le Juli et les autres ! Un point c’est tout ! Trois oreilles et sortie par la Puerta Grande du Parc Théodore Denis

Miguel Angel Perrera coupe une oreille à son premier dans son style si personnel , c’est à dire en toréant très vertical et très près. Ne voulant pas être en reste, il instrumenta à son second le plus noble de l’envoi, une grande faena plus profonde, plus classique. Deux pinchazos et une entière firent tomber une autre oreille. Vuelta au toro de la Quinta !

Curro Diaz , pour sa part eut quelques difficultés avec son premier qui le désarma deux fois et le poursuivit aux planches. Il réussit quand même une bonne faena et tua mal.Il ne démérita pas à son second.

Toros de la Quinta. Vuelta du 6ième et du Mayoral

Curro Diaz : Salut et ovation

El Juli : une oreille et deux oreilles

Miguel Angel Perera : une oreille une oreille

Le Cid coupe 2 oreilles !

mardi 17 août 2010

Dax le 16 août, 4ième de feria

Le Cid semble revenir à son meilleur niveau . Il a coupé les deux oreilles à son second toro du Pilar. Il cisela une faena pleine, profonde et très templée conclue d’une très bonne entière.

Sebastien Castella ne s’est pas fait que des amis cet après-midi. Il ne semble pas être dans une bonne passe.

Luis Bolivar montra quelques dispositions mais ses opposants s’éteignirent assez vite.

Toros d’el Pilar :Valse de sobreros : le cinquième remplacé par un Moise Fraile imprésentable, remplacé par un Conde de Mayalde

El Cid : Silence et deux oreilles

Sebastian Castella : Silence et silence .

Luis Bolivar : silence et silence