Mont de Marsan : Bilan rapide d’une feria
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Ce qui reste au coeur des fêtes de la Madeleine ( entendez comme il plaira) c’est la jeunesse qui pousse un peu sa corne : El Juli contre Ponce, les Garcigrande plutôt que les Miura, les pitchouns avec Richard et les novilleros du matin. Plaisir de voir défiler le jeune continent en place de la vieille Europe : Bolivar et Macias.
Un regret : l’absence de Manzanares et de Juan Bautista, et pourquoi pas, des Rivera.
Un autre regret : que le " chef de lidia", Juan Léal n’ait pas eu à occire le novillo de Manuel Rodriguez comme il semble que le règlement taurin l’indique..
Dans toutes les ferias, ( parfois, que de souvenirs pesants de ferias de Séville, Bilbao ou Madrid) il y a des rendez-vous manqués : ainsi l’ultime corrida où devait officier l’officiant ( José Tomas) .
Détail : alors que Morante et Castella prenaient le chemin de la sortie pour rejoindre leurs "Espaces", le seigneur de la Puebla accepta sans rechigner de signer quelques autographes tandis que le natif de Béziers envoya bouler une jeune fille qui en resta fort dépitée.( 1 point en faveur de l’andalou)
Dans trois jours : Garlin
Nadège Vidal